L'histoire du film "La folie du roi George", c'est l'histoire de la folie du roi George III à la fin du 18ème siècle, folie qui augmente, augmente, augmente, sans que nul ne trouve à y redire. Normal, il a désigné par son sang) pour représenter son pays devant le monde entier.
Seul hic, ce personnage imposé et qui serait non grata dans n'importe quelle assemblée est entouré par une cour à ses petits soins, bien que souvent médusée par ses réactions ô combien imprésisibles. Il gesticule, admoneste, injurie, se sape à moitié, fornique et défèque dans le désordre le plus complet tout en courant à tombeaux ouverts dans les longs couloirs des palais royaux qui ne parviennent pas à contenir toute l'énergie que sa folie l'incite à libérer.
Il est jouissif de voir avec quelle déférence les citoyens et l'entourage du roi l'encadrent pour tenter désespérément de le conserver dans la juste ligne du protocole.
Notre bon Président ne s'ingénie t-il pas aussi à remuer les us et coutumes de l'appareil d'Etat à la tête duquel il a été placé ? De là à penser qu'il pourrait être gentiment aliéné...
La médecine moderne a permis de supposer que George III était en fait atteint de porphyrie. Les médicaments qu'il prenait pour cela étaient probablement contaminés par de l'arsenic, ce qui pourrait expliquer ses épisodes de folie.
Quelles substances suspectes se retrouvent-elles à l'Elysée depuis plusieurs années, car les mandatures précédentes nous avaient réservées aussi leur lot de débilités absurdes.
Adapté au théâtre avant de se voir porté à l'écran, cette sinistre descente aux enfers, toujours d'actualité (on se souvient des rapports médicaux bidons sur l'état de santé de Mitterrand) permet de relativiser l'importance des grands de ce monde, tout aussi vulnérables que nous-mêmes, simples mortels.
Si ce film devait vous tomber entre les mains, n'hésitez pas, jetez vous dessus comme des dingues!!!
L'histoire du film "La folie du roi George", c'est l'histoire de la folie du roi George III à la fin du 18ème siècle, folie qui augmente, augmente, augmente, sans que nul ne trouve à y redire. Normal, il a désigné par son sang) pour représenter son pays devant le monde entier.
Seul hic, ce personnage imposé et qui serait non grata dans n'importe quelle assemblée est entouré par une cour à ses petits soins, bien que souvent médusée par ses réactions ô combien imprésisibles. Il gesticule, admoneste, injurie, se sape à moitié, fornique et défèque dans le désordre le plus complet tout en courant à tombeaux ouverts dans les longs couloirs des palais royaux qui ne parviennent pas à contenir toute l'énergie que sa folie l'incite à libérer.
Il est jouissif de voir avec quelle déférence les citoyens et l'entourage du roi l'encadrent pour tenter désespérément de le conserver dans la juste ligne du protocole.
Notre bon Président ne s'ingénie t-il pas aussi à remuer les us et coutumes de l'appareil d'Etat à la tête duquel il a été placé ? De là à penser qu'il pourrait être gentiment aliéné...
La médecine moderne a permis de supposer que George III était en fait atteint de porphyrie. Les médicaments qu'il prenait pour cela étaient probablement contaminés par de l'arsenic, ce qui pourrait expliquer ses épisodes de folie.
Quelles substances suspectes se retrouvent-elles à l'Elysée depuis plusieurs années, car les mandatures précédentes nous avaient réservées aussi leur lot de débilités absurdes.
Adapté au théâtre avant de se voir porté à l'écran, cette sinistre descente aux enfers, toujours d'actualité (on se souvient des rapports médicaux bidons sur l'état de santé de Mitterrand) permet de relativiser l'importance des grands de ce monde, tout aussi vulnérables que nous-mêmes, simples mortels.
Si ce film devait vous tomber entre les mains, n'hésitez pas, jetez vous dessus comme des dingues!!!
