Le juge Feng est un gros branleur inutile et gaspilleur de l'argent de l'honnête contribuable travailleur. Il passe ses journées, semaines et mois à pérorer dans les montagnes chinoises avec la greffière, son assistant et sa mule à un cheval vapeur qui tracte son bureau sur le dos.
Ce fonctionnaire zélé qui se permet de s'inquiéter de la paix sociale au fin fond des provinces reculées de Chine (il est, semble t-il, arrivé à pied par la Chine, tout comme moi : http://www.pointscommuns.com/forum/index.php/topic,2400.171.html) va rendre justice directement à domicile. Non content de perdre le temps et l'argent des citoyens prescripteurs de la capitale, cet irresponsable notoire use et abuse de la médiation au lieu de recourir plus simplement à la force publique chargée de réprimer efficacement toute velléité anti-ligne-officielle à coups de matraque (solution procurant le meilleur gain économique à court terme à ce jour).
Cet état d'esprit proche du peuple qui va à contre-courant de toute gestion cartésienne d'un Etat moderne selon les mêmes méthodes qu'une bonne entreprise lagerdèrienne (équilibre des comptes, revente des actifs, stock-options, délits d'initiés...) est à dénoncer dans les plus brefs délais.
Heureusement, notre bon pays a compris l'utilité des économies d'échelle, synergies et autres virtualisations des services publics.
De plus, comme le préconise notre ministre de l'économie vigoureuse mais écologique, il faudra désormais préférer le vélo à l'auto. Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, deux fois plus de vélo puisque hôpitaux - tribunaux - commissariats - etc... voyant leur implantation divisée par deux, la distance pour les atteindre en est par conséquent doublée. Mais peut-être parlait-elle de pousse-pousse avec chauffeur et de routiers en tandem ?
Quant à Chancellor Dati versus Judge Feng, Dati gagne, puisque le principe des réunions "non négociables", expression dont la récente instauration semble acquise, sont organisées ici et là pour faire cesser cet infâme gaspillage rural qui étouffe les fastes parisiens et ses nécessités budgétaires afférentes.
Longue vie à Feng donc ! (mais on y croit déjà plus trop...)
Le juge Feng est un gros branleur inutile et gaspilleur de l'argent de l'honnête contribuable travailleur. Il passe ses journées, semaines et mois à pérorer dans les montagnes chinoises avec la greffière, son assistant et sa mule à un cheval vapeur qui tracte son bureau sur le dos.
Ce fonctionnaire zélé qui se permet de s'inquiéter de la paix sociale au fin fond des provinces reculées de Chine (il est, semble t-il, arrivé à pied par la Chine, tout comme moi : http://www.pointscommuns.com/forum/index.php/topic,2400.171.html) va rendre justice directement à domicile. Non content de perdre le temps et l'argent des citoyens prescripteurs de la capitale, cet irresponsable notoire use et abuse de la médiation au lieu de recourir plus simplement à la force publique chargée de réprimer efficacement toute velléité anti-ligne-officielle à coups de matraque (solution procurant le meilleur gain économique à court terme à ce jour).
Cet état d'esprit proche du peuple qui va à contre-courant de toute gestion cartésienne d'un Etat moderne selon les mêmes méthodes qu'une bonne entreprise lagerdèrienne (équilibre des comptes, revente des actifs, stock-options, délits d'initiés...) est à dénoncer dans les plus brefs délais.
Heureusement, notre bon pays a compris l'utilité des économies d'échelle, synergies et autres virtualisations des services publics.
De plus, comme le préconise notre ministre de l'économie vigoureuse mais écologique, il faudra désormais préférer le vélo à l'auto. Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, deux fois plus de vélo puisque hôpitaux - tribunaux - commissariats - etc... voyant leur implantation divisée par deux, la distance pour les atteindre en est par conséquent doublée. Mais peut-être parlait-elle de pousse-pousse avec chauffeur et de routiers en tandem ?
Quant à Chancellor Dati versus Judge Feng, Dati gagne, puisque le principe des réunions "non négociables", expression dont la récente instauration semble acquise, sont organisées ici et là pour faire cesser cet infâme gaspillage rural qui étouffe les fastes parisiens et ses nécessités budgétaires afférentes.
Longue vie à Feng donc ! (mais on y croit déjà plus trop...)
